Catherine Malacchina

Reflet de France

Je connais Catherine depuis quelques années maintenant. En temps que présidente du photo-club elle a été l'instigatrice des stages et séances de lecture d'images entre autre. Donc hors mis sa motivation pour faire fonctionner un photo club tel que celui d'AVIVA, elle travaille la photographie et l'image depuis très longtemps. 

Elle sait très bien défendre son écriture photographique, écriture aussi affirmée que l'est sa personnalité. Elle a très vite compris l'importance de se nourrir du travail des autres en parcourant les expositions.

Elle collectionne en argentique comme en numérique un nombre astronomique d'images, ce qui ne l'empêche pas de trier, de sélectionner, et de faire des propositions cohérentes qui lui ressemblent, des propositions assez étonnantes parfois.

Elle partage avec nous sa personnalité vraie, elle dévoile ses émotions au détour d'un visage, d'un paysage, d'un voyage au centre de la nature ou des villes, et nous livre un peu de son intimité sans fausse pudeur. 

Prenez le temps de lire ses images :

Promenons nous au bois

Depuis combien de temps faites-vous de la photographie ? 

A la photo que je qualifierais d’affective (la famille, les vacances et les cérémonies de tout genre)  ont succédé mes premiers  clichés relatifs à des concours photo de proximité. Tout cela  remonte à un certain nombre d’années  maintenant !!

L’évolution vers  une photo de style plus artistique  s’est mise en place progressivement  par la régularité  de rencontres photographiques. Les conseils prodigués par une professionnelle de la photographie dont  je suis les cours de même que les nombreux exercices qu’elle me propose participent grandement à l’élaboration de mon parcours personnel.
Les visites de galeries et de musées contribuent  non seulement au développement de ma  propre culture mais elles nourrissent  également ma réflexion et me permettent  de porter un regard nouveau sur mes créations.

Qu'est-ce qui vous attire dans la photographie ?

Parure d'eau

Au travers de mes photos  je cherche  à  traduire au mieux mes émotions.
Je conçois mon approche comme une quête. A  mes yeux chaque détail, matériel ou immatériel peut avoir son importance. 

Des voyages que j’ai faits j’ai ramené  des images auxquelles j’ai tenté de donner une certaine cohérence pour  constituer des  séries. 

Si l’argentique pouvait être source de frustrations (limitation des prises de vues, coût des tirages…),  aujourd’hui avec le numérique, il n’est plus question  de se priver !    

Marche à Chatenay

Surréalisme à Chatenay